Kitsch – biblio

Le terme peut être pris en mauvaise part (Greenberg). Cependant, dès que l’on se penche sur le sujet, fut-ce à partir d’une position critique (Dorfles, Moles), l’examen finit par mettre en évidence l’existence positive des manifestations collectées (Steinberg, Jouannais). Reste dès lors à en rechercher l’archéologie (Olalquiaga).

  • Walter Benjamin [1927]. (« Kitsch onirique », Œuvres II, Paris, Gallimard, 2000.AM)
  • Clement Greenberg, « Avant-Garde and Kitsch », Partisan Review, vol. VI, n° 5, automne 1939.AM (Repris in Greenberg, Art and Culture : Critcal Essays, Boston, Beacon Press, 1961, p 3-21. Trad. fr. Greenberg, 1988, p. 9-29.)AM
  • Gillo Dorfles, Kitsch. Anthologia del cattivo gusto, Milan, Studio Vista, 1968. (Kitsch. The World of Bad Taste, Londres, Studio Vista, 1969.AM Le Kitsch. Un catalogue raisonné du mauvais goût, Bruxelles, Complexe, 1978.AM)
  • Abraham A. Moles, Psychologie du kitsch. L’art du bonheur, Paris, Mame, 1970.AM
  • Les Chefs d’œuvre du Kitsch, sous la dir. de Jacques Steinberg, Paris, Planète, 1971.AM
  • Jean-Yves Jouannais, Des nains, des jardins : essai sur le kitsch pavillonnaire, Paris, Hazan, 1994.AM
  • Jean-Michel Normand, Kitsch. Les Carnets du chineur, Paris, Le Chêne, 1999.AM
  • Celeste Olalquiaga, The Artificial Kingdom. A Treasury of the Kitch Experience, New York, Pantheon Book, 1998. (Royaume de l’artifice. L’émergence du kitsch au XIXe siècle, trad. Gilbert Cohen-Solal et Michèle Veuvert, Lyon, Fage, 2008.AM)

Fiche établie par ChB, février 2008.
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